Des glaces du Perito Moreno à l’océan et ses cris de baleines, le parcours d’un fleuve de Patagonie nourrit un album ainsi qu’un spectacle et une exposition présentés au Théâtre du Crochetan, à Monthey. #création artistique patagonie
Inmerso, ce terme espagnol convient à merveille au projet artistique présenté ce jeudi 19 décembre au Théâtre du Crochetan, à Monthey. Le musicien Dimitri Güdemann, alias Vouipe, et le vidéaste et photographe Nils Martenet proposent une expérience artistique immersive dans les paysages aquatiques de la Patagonie. Le spectacle, mêlant musique et images, revient sur l’aventure des deux artistes partis en novembre 2022 capter les multiples vies du fleuve Santa Cruz, de la fonte des glaces à son large estuaire au sud de l’Atlantique.
La passion pour la nature et pour l’eau anime depuis toujours Dimitri Güdemann: «C’est un élément mystérieux qui m’est pourtant familier. Je pratique beaucoup de sports aquatiques. Dans ce projet, je voulais saisir tout l’environnement lié à l’eau, pas uniquement l’élément liquide, mais aussi le vent, les oiseaux, les coquillages, les baleines, les manchots et les orques.» Si le musicien a choisi la Patagonie, c’est par passion pour les grands espaces, pour la pureté et l’aspect brut et sauvage qui caractérisent cette contrée. A cela s’ajoute la particularité de pouvoir suivre et saisir en sons et en images tout le cycle de l’eau, de la glace à l’océan.
La suite de cet article est réservée aux abonnés du journal suisse Le Temps
Comme cela menaçait, a finalement été abrogée – par le décret 1083 – cette loi adoptée fin 2006 et qui avait été prolongée à plusieurs reprises. Bien qu’elle ait été considérée comme « d’urgence », sa prolongation a été de plus de 15 ans. #peuples autochtones argentine
Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 7
Et maintenant, avant même d’assumer ce gouvernement, nous nous souvenons des déclarations de la vice-présidente Villarruel dans lesquelles elle disait que cette loi ne devrait plus exister.
Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 8
Donc entre cela et les rumeurs que nous entendions, cette mesure n’a pas retenu notre attention, mais cela ne veut pas dire qu’elle ne nous indigne pas et ne corrobore pas la haine et le racisme en vigueur contre les communautés par ceux qui dirigent les destinées de notre pays. Il s’agit, comme le disent de nombreux frères, d’une campagne de génocide et d’extermination des peuples indigènes.
Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 9
Et bien sûr, grâce à cette mesure, les juges ou les procureurs, en complicité avec le pouvoir en place, avec des propriétaires fonciers ayant obtenu des titres au moins arbitrairement ou avec de puissantes sociétés extractives, peuvent avancer sur les territoires indigènes.
Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 10
Mais bon, cela nous oblige à nous rapprocher, à mieux nous organiser, à nous articuler avec différentes forces pour faire face à la dure réalité qui s’annonce. C’est pourquoi, à cette occasion, il nous a semblé très positif de diffuser les paroles de Jorge Nahuel, référence historique de la Confédération Mapuche de Neuquén, dans une interview avec lui par le Frère Oscar Moreno, que nous remercions de nous avoir fourni ce matériel très intéressant.
Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 11Une autre attaque sournoise contre les peuples autochtones, la loi 26160 a été abrogée (14/12/2024, par Kay Pacha / Equipe Pueblos Originarios du SERPAJ "Otro artero ataque a los Pueblos Indígenas, se derogó la ley 26160") 12
Selon un rapport publié par le CONICET, l’air respiré dans la péninsule Antarctique contient une grande variété de polymères plastiques et de colorants principalement associés à l’industrie textile ; La composition la plus observée était le coton semi-synthétique, bien que du polyamide, du polyester, du polypropylène, des polyacrylates et des polyacrylonitriles aient également été trouvés.
Source : https://www.infofueguina.com/sustentable/2024/12/13/cientificos-del-conicet-detectaron-microplasticos-pigmentos-en-la-atmosfera-de-la-antartida-80049.html Traduit de l’espagnol par l’association Karukinka
Las partículas fueron analizadas durante 2023, aunque los resultados se dieron a conocer esta semana. Foto: CONICET La Plata
Des chercheurs et spécialistes du CONICET La Plata ont analysé pour la première fois l’air de la péninsule Antarctique et ont détecté la présence de microplastiques et de pigments utilisés dans l’industrie textile.
Cette découverte est le résultat d’une surveillance continue effectuée à la station scientifique argentine Carlini Base – située sur l’île 25 de Mayo, au nord de la péninsule – à l’aide d’appareils qui prélevaient des échantillons de particules atmosphériques considérées comme « suspectes ».
L’analyse a confirmé que l’air que nous respirons contient une grande variété de polymères plastiques et de colorants principalement associés à l’industrie textile. Les particules capturées ont été analysées en 2023 avec deux techniques différentes pour déterminer la composition chimique de matériaux extrêmement petits : la microspectroscopie RAMAN et la microspectroscopie infrarouge.
« Les échantillons que nous étudions sont des microplastiques, c’est-à-dire des plastiques dont les dimensions n’excèdent pas 5 millimètres. Dans ce cas, la plupart des objets trouvés mesuraient au maximum un millimètre de long et 20 microns de large. Nous parlons de minuscules morceaux, sachant qu’un micron équivaut à un millième de millimètre », a expliqué Lorena Picone, l’une des chercheuses du CONICET qui ont participé à l’analyse.
Sur la base des résultats, ils ont trouvé des déchets d’origine plastique dans tous les échantillons, et 80 pour cent de ce qui a été analysé correspond à des microfibres synthétiques et semi-synthétiques utilisées dans la fabrication de vêtements. La composition la plus observée était le coton semi-synthétique, bien que du polyamide, du polyester, du polypropylène, des polyacrylates et des polyacrylonitriles aient également été détectés.
Ils ont également trouvé de l’indigo, du bleu réactif 238 et de la phtalocyanine de cuivre, trois pigments utilisés dans la fabrication de plastiques et de teintures pour vêtements, qui n’avaient jamais été signalés auparavant dans l’air de l’Antarctique.
« Bien que les résultats publiés suggèrent qu’en raison des niveaux et du type de pollution détectés, le transport sur de courtes distances de l’activité humaine locale joue un rôle important, l’influence des modèles atmosphériques à grande échelle transportant des particules de différents types n’est pas exclue. sur des milliers de kilomètres, et c’est pourquoi la prochaine étape sera d’étendre les tâches de surveillance à de nouvelles régions qui permettront de comparer les résultats et de compléter les conclusions », détaille le rapport.
L’organisation d’avocats assure que le décret (DNU Milei, loi 26.160) publié au Journal Officiel n’a pas la hiérarchie nécessaire pour éliminer la suspension des expulsions des peuples indigènes. #droits indigenes argentine
Le rejet de la décision du gouvernement de permettre l’expulsion des communautés indigènes à travers le pays par le DNU se multiplie. La mesure met fin à la suspension des expulsions en vigueur par un décret de 2021 et met fin à l’état d’urgence territoriale indigène établi par la loi 26.160.
La Guilde des Avocats prévoit qu’elle demandera l’inconstitutionnalité de la mesure publiée par le gouvernement au Journal Officiel. L’avocat membre de cette organisation, Luis Virgilio, a expliqué sur Radio Encuentro que la déclaration d’urgence « est un fait, quelque chose de factuel, une situation réelle ».
« C’est le voile même que portent les communautés contre l’expulsion de leur territoire, qui doit être respecté par l’article 75 de la Constitution nationale et les traités internationaux que nous avons incorporés dans notre Constitution », a-t-il ajouté. C’est-à-dire « ce sont des droits constitutionnels qui ont vocation à être violés par un décret d’une hiérarchie inférieure », a-t-il poursuivi.
Les scientifiques le redoutaient depuis des mois. Un virus d’origine grippale décime les populations d’éléphants de mer et de manchots dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Après être apparue ces dernières années dans d’autres régions du globe, la maladie touche des mammifères et oiseaux marins évoluant dans des écosystèmes uniques au monde.
Les tests antigéniques ont été rapidement réalisés sur les manchots de Crozet. | TORNOS/LEJEUNE CNRS IPEV
Ouest-France Dans les Terres australes et antarctiques françaises, Valérie PARLAN.
Modifié le 10/12/2024 à 10h43. Publié le 10/12/2024 à 10h39
Des milliers d’éléphants de mer gisants morts sur les côtes, des dizaines d’albatros et de manchots royaux terrassés reposant sur les rochers… Les images de la grippe aviaire survenue ces derniers mois chez les mammifères et oiseaux marins dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) hantent encore ceux qui les ont découvertes. L’épizootie a d’abord été constatée en octobre dernier sur l’archipel de Crozet dans les colonies d’éléphants de mer, parmi les plus importantes au monde.
Crozet, tout comme ses « sœurs » australes de Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam, est inhabitée de manière permanente. Seuls des agents, militaires et chercheurs s’y relaient plusieurs mois d’affilée pour y mener des missions de souveraineté, d’observation et de protection des réserves naturelles. Ce sont eux qui ont alerté les autorités.
Éviter la contamination à l’homme
Trois semaines plus tard, c’est à Kerguelen qu’un éléphant de mer a été testé positif à ce même pathogène d’origine grippale. Sur le terrain, les observations se rejoignent : le virus cause de sévères troubles neurologiques, des tremblements, des convulsions et occasionne de graves hémorragies internes dans une grande partie des organes.
Rapidement, l’administration des TAAF, en concertation avec l’Institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV) 1,…